À la Une de l’actualité, la police dans l’action face à l’insécurité dans le Grand Conakry

Article : À la Une de l’actualité, la police dans l’action face à l’insécurité dans le Grand Conakry
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24 février 2023

À la Une de l’actualité, la police dans l’action face à l’insécurité dans le Grand Conakry

« Depuis plusieurs mois, les habitants du grand Conakry vivent la peur au ventre. En cause, l’insécurité grandissante dans presque tous les quartiers. Il ne se passe un jour, sans qu’une attaque ne soit signalée. Outre les attaques visant des personnes pour leurs motos, les malfrats font irruption dans des concessions pour terroriser les citoyens ou mettre fin à leur vie. » tempête Mosaiqueguinee.com

Des exemples de ces attaques, il y en a à la pelle et Mosaiqueguinee.com en cite un « un jeune qui partait prendre part à un concours de recrutement au sein de l’armée a croisé la mort ce jeudi, avant l’aube. Il a été la cible d’hommes armés qui ont ouvert le feu sur lui. »

Face à cette situation dans le même article, le directeur général de la police nationale, Colonel Abdoulaye Sampil a accordé un entretien au journal en ligne. Un entretien au cours duquel, il a annoncé des mesures « À compter d’aujourd’hui, ce dispositif est renforcé avec des patrouilles diurnes et nocturnes et des dispositifs statiques seront à plusieurs endroits pour appuyer les unités de patrouille (…). », a-t-il confié à Mosaiqueguinee.com

Les difficultés s’accumulent contre les anciens cadres du régime Condé

C’est une exclusivité de Mediaguinee. « C’est, ce jeudi 23 février, que la décision est tombée. Le juge dans son verdict a déclaré irrecevable l’appel interjeté par Kassory Fofana et sa défense, et renvoyé le dernier Premier ministre du régime Alpha Condé à mieux se pourvoir ainsi qu’il avisera. Tout en ordonnant l’exécution du présent arrêt à la diligence de monsieur le procureur spécial près la CRIEF. » rapporte Mediaguinee.com

« Après, cette décision du juge, tout porte à croire que les avocats de Kassory saisiront la Cour suprême pour se faire entendre à nouveau. » Croit savoir Mediaguinee.com

Coup de gueule du site Ledjely.com contre les propos racistes du président tunisien

C’est un éditorial ou du moins un coup de gueule signé Boubacar Sanso Barry sur Ledjely.com qui n’a pas digéré les propos « racistes » du président Kaïs Saïd contre les migrants vivants dans son pays.« Si l’âge est souvent associé à la sagesse, il faut croire que le président tunisien échappe à cette règle. En tout cas, des actes que le président Kaïs Saïed pose ou des propos qu’il tient, il ne se dégage aucune sagesse. Au contraire, il en ressort d’inquiétantes tendances à la dictature et à l’autocratie. Pire, avec les derniers propos qu’il a tenus à l’endroit des migrants de l’Afrique subsaharienne, il révèle même son côté pas que xénophobe, mais foncièrement raciste aussi. Mais on imagine qu’à l’image de tous les pseudo-leaders, incapables d’honorer leurs engagements vis-à-vis de leurs compatriotes et face à la crise économique que le pays vit et aux nombreuses pénuries auxquelles les Tunisiens font face, le président tunisien se sert des migrants subsahariens comme des boucs-émissaires. » S’exclame Boubacar Sanso Barry sur Ledjely

« Pas suffisamment courageux pour assumer son échec et ne mesurant pas tous les dangers auxquels il expose ceux qu’il jette ainsi en pâture, il emprunte le chemin réducteur et simpliste de l’instrumentalisation de la migration. De la part d’un chef de l’Etat dont le pays est quand même membre de l’Union africaine, ce n’est pas très responsable. » Assène l’éditorialiste guinéen

Poursuivant, Sanso note sur Ledjely.com que « c’est ce contexte qui explique ces tristes propos que Kaïs Saïed a tenus ce mardi 21 février à l’encontre des migrants subsahariens. C’est une rengaine classique de la part des dirigeants en panne d’idées. Mi-racistes, mi-nationalistes, ils sont toujours prompts à sortir le fameux risque de « l’invasion » ou du « grand remplacement ». Et très souvent, leur discours se ramène à un tissu de mensonges que les opinions publiques, chauffées à blanc ou cédant à une certaine émotion, n’ont pas le temps de déceler. Dans le cas de la Tunisie par exemple, il importe de noter que l’essentiel des migrants subsahariens cibles de la charge virulente du président n’ont pas vocation à s’établir dans le pays. Ils n’y sont très souvent qu’en transit, l’objectif ultime étant l’eldorado européen. Par ailleurs, selon les statistiques fournies par les autorités italiennes, des quelque 32 000 migrants clandestins arrivés dans le pays en 2022, en provenance de la Tunisie, 18 000 étaient de ce pays. » assène le Journal en ligne

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